100.000 km au solei - ou l('avers saille (épisode 2)

Depuis qu’Honoré Bue était parvenu à retrouver la trace de l’Elysée ayant appartenu à son grand-père Edgar Sincharles (cf. L’avers saille (épisode 1) ) il n’avait eu de cesse de réaliser son rêve. Parlez d’un rêve disait Nathalie sa compagne !  C’est vraiment un mec pour ne penser qu’à ça…

Faut dire, pour la défense d’Honoré, qu’il n’est pas le seul à rêver ainsi. Mais lui, il est parvenu à le réaliser, son rêve. Avec ses petits moyens et l’aide de ses potes. Heureusement, il a quelques connaissances dans le monde de l’audio visuel. Des fondus comme lui d’autos semi anciennes. Celles des années 60. Celles qui les ont fait vibrer gamins. Celles que l’ont reconnaissaient rien qu’au bruit du moteur. Ah ! En ce temps là on ne se trompait que très rarement. Les modèles étaient beaucoup moins nombreux que de nos jours et on reconnaissait de très loin celui qui arrivait. Aujourd’hui faut presqu’avoir le nez sur le logo pour reconnaitre le modèle.

Bon, bon, je m’égare une fois encore et le lecteur fva passer à autre chose. Alors revenons plein cadre et Silence !... Moteur !... On tourne !

Au fait, on tourne quoi ? La page ? Une sit-com ? Un vaudeville ? Un porno ?

C’est vrai, on tourne quoi ?

Honoré Bue avec l’aide de l’équipe d’Auto Vidéo s’est mis en tête de reconstituer la tentative de record effectuée par Simca en 1957 sur l’autodrome de Montlhéry, au cours de laquelle une Aronde Elysée 1300 a battu 14 records du monde et 27 records internationaux en réalisant 100.000 km à 113 km/h de moyenne du 9 avril au 17 mai 1957.

Après des images du film, je vous propose son making-off.

Le tournage

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